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Résumé :
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"La précarité peut engendrer des angoisses, de la dépression, une difficulté à se projeter. À l’inverse, une santé mentale fragilisée peut rendre plus compliqués l’intégration dans la société, la recherche et le maintien dans un emploi, la création de liens… Le service de santé mentale provincial de Namur-Astrid est convaincu de l’interdépendance de la précarité et de la santé mentale. Quotidiennement, il reçoit des personnes, qui se débattent avec l’une et l’autre, et c’est à travers un accompagnement pluridisciplinaire, global et empreint d’humanité qu’ils les aident à cheminer vers un mieux-être."
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