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Titre :
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Communicating fatigue in general pratice and the role of gender (2002)
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Titre original :
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Communication de la fatigue en médecine générale et différenciation sexuelle
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Auteurs :
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MEEUWESEN L. ;
BENSING J. ;
VAN DEN BRINK MUINEN A. ;
Université d'Utrecht
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Patient Education and Counseling (Vol. 48 n° 3)
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Article en page(s) :
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pp. 233-242
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Note générale :
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biblio.
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Langues :
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Anglais
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Catégories :
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EDUCATION DU PATIENT
COMMUNICATION
DIFFERENCIATION
RELATION SOIGNANT-SOIGNE
FATIGUE
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Mots-clés :
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EDUCATION DU PATIENT
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COUNSELLING
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COMMUNICATION
;
DIFFERENCIATION
;
RELATION SOIGNANT-SOIGNE
;
FATIGUE
;
IMAGE DE LA SANTE
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Résumé :
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L'objet de cette étude était d'avoir un meilleur aperçu de l'état de santé des patients fatigués, de leurs attentes lors des consultations chez le généraliste, de leur manière de communiquer, et de l'éventuelle différenciation sexuelle. L'étude portait sur 579 questionnaires remplis par des patients et sur 440 observations visuelles de ces patients et de 31 omnipraticiens. Les résultats montrèrent que la fatigue constitue un problème de santé courant mais rarement à l'ordre du jour en médecine générale. Les femmes étaient plus nombreuses que les hommes à présenter des symptômes de fatigue. La santé des patients souffrant de fatigue était moins bonne que celle des patients ne présentant aucun signe de fatigue et ils attendaient généralement une meilleure communication biomédicale et, plus particulièrement, psychosociale. En outre, les hommes souffrant de fatigue attendaient davantage d'informations biomédicales que les femmes. Alors que les omnipraticiens adaptaient leur comportement verbal aux patients fatigués en donnant davantage d'informations psychosociales et de conseils, ils n'étaient pas pour autant plus affectifs envers les patients fatigués qu'envers ceux ne l'étant pas. Les femmes médecins étaient toutefois plus affectives que leurs collègues masculins et avaient tendance à utiliser des stratégies de communication sexospécifiques pour connaître l'histoire du patient. Il semble dès lors nécessaire d'utiliser une approche tenant compte des sexospécificités dans la recherche de la communication.
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE
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