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Résumé :
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A quels signes peut-on reconnaitre le « moment favorable » pour poser un acte clinique ? Qu’il s’agisse du renouvellement d’un pansement, d’une conversation décisive, d’une visite à autoriser ou à postposer, d’une toilette à effectuer, la question se pose. Elle se pose même avec acuité. Nombre de soignants en effet se plaignent de plus avoir le temps de prendre soin des soignés. Et corrélativement, nombre de soigné se plaignent d’être traités comme des objets plutôt qu’en qualité de sujets. La pression du chronomètre se fait de plus en plus lourde dans les pratiques cliniques.
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